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Le statut de menace du panda géant passe de "en danger" à "vulnérable" selon la dernière évaluation de l'UICN

Publié le : 7 septembre 2016  |  Auteur : Jérôme POUILLE  |  Sources : Red List, UICN France, IUCN, WWF France, SFA  |  Suite de : Les résultats détaillés du 4ème recensement national des pandas géants et de leur habitat (9 juin 2015)

 

Le congrès mondial de l'Union Internationale de Conservation de la Nature (UICN, en anglais IUCN pour International Union for Conservation of Nature) se tient du 1er au 10 septembre à Honolulu (Hawaï).

L’UICN est une union de membres composée de gouvernements et d’organisations de la société civile. Elle offre aux organisations publiques, privées et non-gouvernementales les connaissances et les outils nécessaires pour que le progrès humain, le développement économique et la conservation de la nature se réalisent en harmonie.

Créée en 1948, l’UICN s’est agrandie au fil des ans pour devenir le réseau environnemental le plus important et le plus diversifié au monde. Elle compte avec l’expérience, les ressources et le poids de ses 1 300 organisations membres et les compétences de plus de 16 000 experts. Elle fait aujourd'hui autorité au niveau international sur l’état de la nature et des ressources naturelles dans le monde et sur les mesures pour les préserver.

A l'occasion de l'actuel congrès de l'UICN, a été dévoilée la mise à jour de la Liste rouge des espèces menacées qui est l'inventaire mondial du statut de conservation des espèces animales et végétales le plus exhaustif au monde. Une série de critères permet d'évaluer le statut de menace ou risque d'extinction de milliers d'espèces et de sous-espèces. Fondée sur une solide base scientifique, la Liste rouge de l’UICN est reconnue comme l’outil de référence le plus fiable pour connaître le niveau des menaces pesant sur la diversité biologique spécifique.

Parmi les bonnes nouvelles de cette mise à jour figure le cas du panda géant. Précédemment classé « en danger » et ce depuis 1990, il est maintenant reclassé dans la catégorie « vulnérable », celle juste au niveau inférieur.

Rappelons que la liste comporte 9 catégories de classification des espèces en fonction de leur statut de conservation : éteinte (EX), éteinte à l’état sauvage (EW), en danger critique (CR), en danger (EN), vulnérable (VU), quasi menacée (NT), préoccupation mineure (LC), données insuffisantes (DD), non évaluée (NE).

 

 

La classification d’une espèce ou d’une sous-espèce dans l’une des trois catégories d’espèces menacées d’extinction (CR, EN ou VU) s’effectue par le biais d’une série de cinq critères quantitatifs qui forment le cœur du système. Ces critères sont basés sur différents facteurs biologiques associés au risque d’extinction : taille de population, taux de déclin, aire de répartition géographique, degré de peuplement et de fragmentation de la répartition.

Le panda géant reste donc une espèce menacée d'extinction mais est déclassé dans sa catégorie moindre selon les trois évaluateurs spécialistes du panda géant (Ron Swaisgood, Dajun Wang et Fuwen Wei).

Cette ré-évaluation à la baisse du statut de menace s'explique notamment par les résultats du quatrième recensement national des pandas géants et de leur habitat réalisé de 2011 à 2014 et dont les résultats ont été publiés fin février 2015.

Pour rappel, ce dernier état des lieux a permis de dénombrer 1 864 pandas sauvages contre 1 596 pandas sauvages il y a 10 ans lors du 3ème recensement. 268 pandas supplémentaires ont été dénombrés, soit une hausse de 16,79 % comparé au 3ème recensement. L'habitat (confirmé) du panda a progressé de 11,78 % entre le 3ème et le 4ème recensement. Il est passé d'une superficie de 2 304 991 hectares à 2 576 595 hectares.

Les experts de l'UICN ont ainsi conclu que la population de pandas sauvages s'était accrue grâce au reboisement et à une protection efficace des forêts. Selon leur évaluation, cette amélioration confirme l’efficacité des efforts entrepris par le gouvernement chinois pour préserver cette espèce. Cependant, ils ont estimé, sur la base des études existantes, que le changement climatique pourrait éliminer, dans les 80 années à venir, plus de 35% des forêts de bambous qui constituent son habitat, et que les effectifs de l’espèce devraient donc décliner, perdant ainsi les acquis de ces deux dernières décennies. Ainsi, ils ont préconisé que pour protéger cette espèce emblématique, il est crucial de poursuivre la mise en œuvre de mesures efficaces de protection des forêts et de répondre aux nouvelles menaces. Ils ont admis que le gouvernement chinois a prévu d’élargir sa politique actuelle de conservation de l’espèce, ce qui représente une avancée positive devant être fortement soutenue afin d’assurer sa mise en œuvre effective.

« Depuis plus de cinquante ans, en plus d’être le symbole du WWF, le panda géant a été l'espèce emblématique des efforts de conservation dans le monde. Le fait que cet animal s’éloigne encore davantage de l'extinction réjouit tous ceux qui sont engagés dans la protection des espèces sauvages et de leurs habitats dans le monde. Cette bonne nouvelle pour le panda géant prouve que lorsque la science, la volonté politique et l'engagement des communautés locales se réunissent, nous pouvons préserver la faune et la biodiversité », a déclaré Marco Lambertini, directeur général du WWF France.

Comme le sous-entend son nouveau statut, le panda reste vulnérable, notamment à cause de la fragmentation de son territoire. Le quatrième recensement a révélé que les 1 864 pandas sauvages étaient fragmentés en 33 sous-populations quasi-isolées les unes des autres. 22 de ces 33 sous-populations comportent moins de 30 individus chacune, la plupart d'entre-elles se situent dans la partie nord-ouest des monts Minshan. Le même recensement a révélé que seulement un peu plus de la moitié (55,6 %) de l'habitat du panda est de bonne qualité, le reste étant de qualité moyenne (16,8 %) ou de faible qualité (27,6 %).

67 réserves naturelles ont été établies pour la protection entre autres du panda géant ; seulement 40 existaient lors du 3ème recensement. Ces réserves protègent 1 246 des 1 864 pandas sauvages, soit 66,85 % de la population totale. Par conséquent, encore environ un tiers des pandas sauvages vivent hors du système de réserves naturelles. Pire, elles ne protègent que 53,76 % de l'habitat du panda. Ainsi, près de la moitié de l'habitat du panda se trouve aujourd'hui non protégé par le système de réserves naturelles, ce qui le rend plus vulnérable et limite ainsi la progression de l'effectif de pandas dans cette partie.

« Ce reclassement marque des décennies d'efforts du gouvernement chinois en matière de protection et démontre que l'investissement dans la protection des espèces emblématiques comme les pandas géants est à la fois bénéfique pour les espèces et l’humanité. La victoire n’est toutefois pas totale. Les pandas restent vulnérables et éparses. Une grande partie de leur habitat demeure menacée par des projets d'infrastructures. N’oublions pas qu’il ne reste que 1 864 spécimens à l'état sauvage », a déclaré Lo Sze Ping, directeur général du WWF-Chine.

Le gouvernement chinois, par la voix de l'Administration d'Etat des Forêts (State Forestry Administration), a immédiatement indiqué que l'abaissement du statut de menace du panda géant ne serait pas synonyme d'un relâchement des efforts de conservation. En effet, comme l'ont souligné les experts de l'UICN, le gouvernement chinois a rappelé que le panda géant reste menacé notamment à cause de quatre facteurs : la fragmentation de son habitat, le risque de réduction des échanges génétiques, l'impact du changement climatique, une protection insuffisante de l'habitat. Ainsi, le gouvernement chinois assure qu'il est indispensable de poursuivre et renforcer les efforts de conservation, notamment envers les sous-populations fragmentées en grand risque d'extinction.

Rappelons que protéger l'habitat du panda géant, c'est protéger un écosystème unique, très riche, abritant des centaines d'autres espèces animales et végétales sous le « parapluie » du panda. Plus de 10 % des espèces de mammifères connues dans le monde vivent en Chine et parmi elles 18% sont endémiques de Chine. A ce jour, 179 espèces de mammifères partagent le même habitat que le panda géant, soit 32 % des mammifères qui vivent en Chine. On dénombre également 565 espèces d'oiseaux, 31 espèces de reptiles, 92 espèces d'amphibiens et 132 espèces de poissons dans l'habitat du panda.

 

Détail des justifications du classement dans la catégorie « vulnérable », critères « C2a(i) ; D1 » :

Critère D1 :

1 864 pandas sauvages de plus d'un an et demi (les jeunes pandas de moins de 18 mois qui se nourrissent de peu de tiges de bambous ne sont pas comptés car la méthode de comptage s'appuie sur les fragments de bambous retrouvés dans les crottes) ont été dénombrés. La composition de la population sauvage est estimée comme suit : 9,6 % de jeunes pandas de moins d'un an et demi (soit une estimation de la population totale à 2 060 individus), 50,5 % d'adultes matures (soient environ 1 040 individus). Même si cette estimation ne contient pas d'intervalle de confiance, les évaluateurs estiment que l'intervalle de confiance le plus bas serait en dessous de 1 000 individus matures (condition du critère D1 pour la catégorie « vulnérable »).

Critère C2a(i) :

La population de pandas est fragmentée en sous-populations qui ne contiennent chacune pas plus de 1 000 individus matures (puisque la population totale ne contient pas plus de 1 000 individus matures) ; cependant la taille de la plus grosse sous-population n'est pas connue à cause des incertitudes sur les connectivités entre sous-populations. Par contre il apparaît qu'au moins une population distincte dans les monts Minshan contient plus de 400 individus matures et donc l'espèce ne remplit plus le critère pour le statut « en danger ».

Les évaluateurs notent que même s'il est difficile de comparer les résultats d'un recensement avec les précédents (précision de la méthode, différences d'échantillonnage et d'analyse), l'écart entre le troisième recensement et le quatrième montre nettement au moins une stabilisation des effectifs voire même une hausse dans certaines parties de l'aire de distribution ; contrairement notamment à la tendance entre le premier et le second recensement qui montrait une baisse drastique des effectifs. Cette tendance récente à la stabilisation des effectifs est également partagée par les experts du Groupe de spécialistes des ours (Bear specialist group) au sein de l'UICN.

Cependant, compte-tenu des risques liés au changement climatique évoqués plus haut, les évaluateurs maintiennent le critère C2(a)(i) : une taille de population avec moins de 10 000 individus matures (C), un déclin continu, constaté, prévu ou déduit du nombre d'individus matures (2), une structure de population avec aucune sous-population ne contenant plus de 1 000 individus matures (a(i)).

 

Rappel du nombre de pandas sauvages comptabilisés lors des 4 recensements
menés respectivement entre 1974-1977, 1985-1988, 1999-2003 et 2011-2014

 

D'autres bonnes nouvelles mais aussi de très mauvaises nouvelles notamment pour les grands singes :

Cette bonne nouvelle concernant le panda géant ne doit pas faire oublier les mauvaises nouvelles qui pèsent sur nombre d'espèces. Parmi les 82 954 espèces que compte la liste rouge, 23 928 sont menacées d’extinction. Parmi ces espèces, 42 % des amphibiens, 13 % des oiseaux et 26 % des mammifères sont menacés d’extinction au niveau mondial. C’est également le cas pour 30 % des requins et raies, 33 % des coraux constructeurs de récifs et 34 % des conifères. Dans cet état des lieux, la France figure parmi les 10 pays hébergeant le plus grand nombre d’espèces menacées : au total, 1 124 espèces menacées au niveau mondial sont présentes sur son territoire, en métropole et en outre-mer.

Le gorille de l’Est (Gorilla beringei) passe de la catégorie « en danger » à « en danger critique d’extinction », suite à un déclin catastrophique de sa population, réduite de plus de 70 % en 20 ans. Elle est actuellement estimée à moins de 5 000 individus. Le gorille de Grauer ou gorille des plaines orientales (G. b. graueri), l’une des deux sous-espèces du gorille de l’Est, qui comptait 16 900 individus en 1994, a perdu 77 % de sa population depuis ; elle était ramenée à 3 800 individus en 2015. Il est illégal de tuer ou de capturer des grands singes ; cependant la chasse représente le danger le plus grave pour les gorilles des plaines orientales. La seconde sous-espèce du gorille de l’Est, le gorille de montagne (G. b. beringei) se porte mieux ; ses effectifs ont augmenté et comptent près de 880 individus. Quatre grands singes sur six (le gorille de l’Est, le gorille de l’Ouest, l’orang-outan de Bornéo et l’orang-outan de Sumatra) sont maintenant classés « en danger critique d’extinction », tandis que le chimpanzé et le bonobo sont classés « en danger ».

« Voir glisser vers l’extinction le gorille de l’Est, qui nous est étroitement apparenté, est vraiment consternant », dit Inger Andersen, directrice générale de l’UICN. « Nous vivons une époque de mutations extrêmes et chaque mise à jour de la Liste rouge de l’UICN nous montre que la crise mondiale de l’extinction avance très vite. Les mesures de conservation donnent des résultats, nous en avons chaque jour plus de preuves. Nous devons redoubler d’efforts pour inverser la tendance et sauvegarder l’avenir de notre planète. »

Le zèbre des plaines (Equus quagga), autrefois abondant et répandu, passe de la catégorie « préoccupation mineure » à « quasi menacé ». Réduite de 24 % depuis 14 ans, sa population, qui comptait près de 660 000 individus, dépasse à peine les 500 000 selon les estimations actuelles. Dans de nombreux pays, l’espèce n’est présente que dans les aires protégées ; cependant, une réduction des effectifs a été constatée dans 10 des 17 pays de l’aire de répartition depuis 1992. Le zèbre des plaines est menacé par la chasse, pour la viande de brousse et les peaux, en particulier quand les animaux sortent des aires protégées.

Trois espèces d’antilopes d’Afrique, le xéphalophe à bande dorsale (Cephalophus dorsalis), le céphalophe à ventre blanc (Cephalophus leucogaster) et le céphalophe à dos jaune (Cephalophus silvicultor) passent de la catégorie « préoccupation mineure » à « quasi menacé ». Si les populations de ces espèces se trouvant à l’intérieur d’aires protégées sont relativement stables, ailleurs elles déclinent en raison de la persistance de la chasse illégale et de la destruction de leurs habitats.

« La chasse illégale et la destruction des habitats restent des menaces majeures qui poussent vers l’extinction de nombreuses espèces de mammifères », dit Carlo Rondinini, chargé de la coordination de l’évaluation des mammifères à l’Université La Sapienza de Rome. « Nous avons maintenant réévalué la moitié de tous les mammifères. Quelques réussites sont certes à célébrer, mais ces nouvelles données doivent nous guider pour la conservation des espèces qui restent menacées. »

A l'inverse, des mesures de conservation réussies ont permis à l’antilope du Tibet (Pantholops hodgsonii) de passer de la catégorie « en danger » à « quasi menacée ». La population a subi un important déclin : elle comptait jadis près d’un million d’individus, tandis que dans les années 1980 et le début des années 1990, elle était estimée à 65 000 – 72 000 individus. Cette réduction était la conséquence du braconnage à des fins commerciales, pour le sous-poil laineux (shahtoosh) employé pour la fabrication de châles. Trois à cinq peaux sont nécessaires pour fabriquer un seul châle, et les animaux sont abattus, car la laine ne peut être ni tondue ni peignée. Une protection rigoureuse a été mise en œuvre depuis, et les estimations actuelles font état de 100 000 à 150 000 individus.

Il convient de mentionner d’autres succès en matière de conservation, notamment le rat architecte (Leporillus conditor), endémique de l’Australie, dont le statut s’améliore, passant de la catégorie « vulnérable » à celle de « quasi menacé ». Ce succès est dû à la réussite du plan de rétablissement de l’espèce, avec des réintroductions et des introductions dans des zones libres de prédateurs. Ce rongeur constructeur de nids est unique et le dernier de ce genre, depuis que Leporillus apicalis, une espèce apparentée plus petite, s’est éteinte au 20e siècle. La résine créée par les rats pour construire leurs nids est si forte qu’elle peut durer des milliers d’années si elle n’est pas exposée à l’eau.

L’onychogale bridé (Onychogalea fraenata) se porte également mieux et passe de la catégorie « en danger » à « vulnérable ». Endémique de l’Australie, cette espèce autrefois abondante a subi un déclin spectaculaire de ses effectifs pendant le 19e et le 20e siècle, en raison de l’impact des espèces envahissantes et de la destruction de ses habitats. Un programme réussi de conservation par transfert, qui a introduit des populations dans des aires protégées, a permis à l’espèce de prendre le long chemin du rétablissement.

 

Chiffres mondiaux pour la Liste rouge des espèces menacées de l’UICN 2016-2 :

Nombre total d'espèces évaluées : 82 954

Nombre total d’espèces menacées : 23 928

Éteint = 855
Éteint à l’état sauvage = 68
En danger critique d’extinction = 5 107
En danger = 7 602
Vulnérable = 11 219
Quasi menacé = 5 323
Faible risque / dépendant de mesures de conservation = 238 (catégorie ancienne progressivement retirée de la Liste rouge)
Préoccupation mineure = 39 053
Données insuffisantes = 13 489

Les chiffres ci-dessus portent uniquement sur les espèces évaluées jusqu’à présent par la Liste rouge de l’UICN. Toutes les espèces de la planète n’ont pas encore été évaluées, mais la Liste rouge présente un instantané utile de l’état des espèces à l’heure actuelle et met en lumière le besoin urgent de prendre des mesures de conservation. Pour un grand nombre de groupes taxonomiques, il n’est pas possible d’indiquer les pourcentages relatifs d’espèces menacées car ces groupes n’ont pas été suffisamment évalués. Dans de nombreux cas, les évaluations se sont particulièrement focalisées sur les espèces menacées ; par conséquent, le pourcentage d’espèces menacées pour ces groupes serait fortement biaisé.

 

Les catégories de menace de la Liste rouge de l’UICN sont les suivantes, par ordre décroissant de menace :

Éteint ou Éteint à l’état sauvage

En danger critique d’extinction, En danger et Vulnérable : espèces menacées d’extinction à l’échelle mondiale

Quasi menacées : espèces proches du seuil de menace ou qui seraient menacées en l’absence de mesures spécifiques de conservation en cours

Préoccupation mineure : espèces évaluées pour lesquelles le risque d’extinction est plus faible

Données insuffisantes : espèces qui ne sont pas évaluées en raison de l’insuffisance des données

En danger critique d’extinction (peut-être éteint) : il ne s’agit pas d’une nouvelle catégorie de la Liste rouge, mais d’une mention servant à désigner des espèces « en danger critique d’extinction » qui sont déjà éteintes selon toute probabilité mais pour lesquelles des confirmations sont nécessaires, par exemple au moyen d’études plus complètes qui ne trouvent aucun individu de l’espèce concernée.

 


Jeune âgé d'environ 8 mois à la base de Chengdu - Moonlight nursery house - 21 mars 2015 - © Jérôme POUILLE

 

A lire :

        > Les résultats détaillés du 4ème recensement national des pandas géants et de leur habitat (9 juin 2015)

        > 1 864 pandas vivent à l'état sauvage selon le 4ème recensement national des pandas géants et de leur habitat (1er mars 2015)

        > 10 décembre 2012 : Deux premiers chiffres relatifs au 4ème recensement national des grands pandas sauvages

        > 28 mars 2012 : Le 4ème recensement national des grands pandas sauvages se poursuit dans la province du Shaanxi 

        > 20 mai 2011 : Le 4ème recensement des pandas géants sauvages va débuter cette année, avec une phase expérimentale à Wanglang

        > 5 avril 2010 : La Chine va lancer en 2011 le 4ème recensement national des pandas géants sauvages

 

Pour en savoir plus :

        > Menaces qui pèsent sur le panda géant et son habitat, les mesures de protection et programmes de conservation

        > Répartition : Les pandas occupent six grands Monts dans trois provinces chinoises

        > Les réserves naturelles pour protéger l'habitat du panda : Fin 2009, la Chine compte 67 réserves naturelles pour la protection des populations sauvages de pandas

        > Liste des réserves naturelles de l'habitat du panda (PDF)

        > Fiche "liste rouge" du statut du panda publiée par l'IUCN